Poèmes primés aux concours de l’AMOPA

Deux élèves de la seconde 2 de COEFFIN (MACHECLER K’nell et TYNDAL Janis)  ont reçu un prix dans la cadre du concours de l’AMOPA (Association des Membres de l’Ordre des Palmes Académiques). Félicitations à eux !

Voici leurs poèmes ainsi que celui de leur camarade JOSEPH Nohann :

VOUS, MES AMIS

Vous que j’ai rencontrés en fin d’année,

Ne vous connaissant pas, je vous ai appréciés

Dans mon cœur, vous êtes bel et bien entrés

Je suis avec vous sans jamais me lasser

 

D’abord toi, Jojo,

Même si tu me casses le dos

Sans ta présence rien n’est rigolo

Ensemble, on se porte vers le haut

 

Ensuite toi, Wawan,

Même si tu penses que je rigole comme un âne

Tu me donnes ton affection à ta manière

Et maintenant je commence à m’y faire

 

Pour finir, Maéry,

Même si tu pars l’année prochaine rien n’est fini

Prendre de tes nouvelles me suffit

Ensemble on parlera pour la vie

 

Je ne saurais pas tout vous dire

Tous, on ne fait que rire

Vous ne me faites pas subir

Mais plutôt sourire.

(MACHECLER K’nell, classe de 2nde 2)

 

L’Absent 

Et toi, que j’ai tant aimé et que j’aime encore,

Qui étais toujours présent, qui m’as vue petite,

Qu’on voyait souvent avec un grand sourire,

Un homme exceptionnel pouvant être un mentor ;

 

Toi qui venais toujours prendre de nos nouvelles

Et qui laisses maintenant un vide dans nos cœurs,

On doit malheureusement te laisser partir à contrecœur,

Toi qui étais une personne si gentille et naturelle.

 

Tu resteras toujours dans ma mémoire,

Je ne cesserai jamais de penser à toi.

Merci pour tous les moments passés avec toi.

 

Malgré ton absence je t’aimerai toujours,

Maintenant tu te reposes mais je sais que tu es là,

On se retrouvera dans l’au-delà.

(TYNDAL Janis, classe de 2nde 2)

 

Un monde meurtri 

Guerres, maladies, pollution,

Ce monde comporte de nombreux fléaux.

Progrès, découvertes, création,

Plus le temps passe, plus nous montons haut.

 

Les hommes et leurs inventions, ont depuis des millénaires,

Fait subir de nombreuses souffrances à cette Terre.

Ce haut niveau que nous nous sommes battus pour atteindre,

Finira en cendres et nous finiront par nous éteindre.

 

Mais ainsi va la vie et nul ne peut lutter.

La mort n’est pas l’opposé de la vie mais une partie d’elle,

Et c’est pour cette raison qu’elle est aussi belle.

Rien ne sert de se battre la fin du cycle va arriver.

 

Guerres, maladies, pollution,

Nous mettrons du temps pour trouver les solutions,

En attendant s’approche de nous l’aura de la destruction,

Alors un seul mot : Agissons.

(JOSEPH Nohann, classe de 2nde 2)